Affichage des articles dont le libellé est poésie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est poésie. Afficher tous les articles

mardi 1 octobre 2013

#insomnie#8


Fem’ilite Fem’intimite Fait milite Fem’ine ile tait Femi nie le passe Feminine au present Fem’illicitee douce Fem’ini cris de plaisir.

vendredi 6 septembre 2013

#insomnie 9# amour perdu


Amour perdu Je me suis surprise à t aimer Malgré le rejet À rêver seule D’un voyage au long cours Dans ces heures creuses, Je le croyais perdu Mais je l’ai vu Surprendre mon cœur Se glisser lentement Dans mon sang, sous ma peau L’amour perdu Revient sans prévenir Il est là, en moi Je le regarde avec précaution Pour le sentir grandir

mercredi 4 septembre 2013

insomnie #8


Sueurs sèches J ai gratté mon cœur Pour que tu t en ailles Voir l’image de ton visage se rétrécir, Perdre le goût de tes lèvres Tu deviens souvenir En sueurs sèches, poudrées d’amour Je te transpire la nuit Enterrant tout contact prémonitoire Fuyants Rêves et cauchemars Enfin, je t oublie.

mercredi 7 août 2013

insomnie#5 poeme


La présence de ton absence
ou que je sois , tu es là Tu es toi, lui, il, vous Tu es l’homme fuyant L’amour vu dans mes yeux Lors d’une étreinte rapide À moitie glauque Dans ce cas, l’amour fait peur Quoi que je fasse, je te sens Dans les silences parlants d eux-mêmes La présence de ton absence Est constante, fiable, d’attaque La médiocrité criante de ma fragilité Puise si fort dans mon cœur qu il s’épuise à te chasser Envers et contre tout tu es là, que tu t appelles Paul ou jaques Je t aime pour de vrai Va y fuis L’amour fait peur tout entier.

mercredi 31 juillet 2013

insomnie #3


Tard dans la nuit Dans mes insomnies, je te rejoins Je viens deposer mes mots Pour que tu les lises Tard dans la nuit. Mes reves me parlent de toi Je viens me blottir Dans le noir, sur papier Instinctifs poemes Efficaces amnesiques Effacant la distance Entre toi et moi Tard dans la nuit mes yeux perlent d’une rosee Sentimentale, virtuelle Toute aussi belle Que cet amour silencieux Espistolaires peureux D’etre face a face Tard dans la nuit, Je viens ici te retrouver En secret ; je m efface

mercredi 24 juillet 2013

insomnie poetique


À force de mots, un jour, je t’oublierai Par milliers de mots, je t’ai aimé Laissant les ondes s’éparpiller vers toi Oubliant de fermer les vannes Les jours ou tout déborde Que tu parles ou que tu te taises Mes phrases s’emmêlent à te chercher Brillant d’absence, mon cœur se vide Sans te trouver À force de mots, un jour, je t’oublierai Figeant le temps dans mon silence Sourire vainqueur mais pacifique Ma route sera autre, peut être belle Je l’espère libre À force de mots, un jour, je t’oublierai Cela prendra 1000 ans, J’irai doucement Ici et là, je vais écrire Vaillamment, droit devant Frêle ou forte À force de mots, un jour, je t’oublierai

dimanche 30 juin 2013

la necessite d ecrire


pour moi, la necessecite d'ecrire s'accompagne d'images a coller. elles illustrent les meandres de mots surgissant de maniere si naive...ecrire de la poesie non publiee, a peine lue parce qu a peine envoyee est une forme de naivete degenerante.. un romantisme qui puise ses racines dans un autre siecle.. alors, je colle, je glue, j assemble...

mercredi 24 avril 2013

souvenir manquant, soir de lune


Souvenir manquant Les soirs de lune Je promène mon spleen Sur les bords suaves De l’intime Tu es comme un souvenir manquant Un air qui s échappe Quand on s’approche Une odeur piquante Volatile, si légère Dispersée dans ma mémoire Gravée en pointille Au creux de mon dos Amour ami Que j invente au jour le jour

lundi 22 avril 2013

jaune cinglee


Jaune cinglee Sur ma route J’ai besoin d’un rêve À vivre œil ouvert, Dansant l incertitude Pour accepter tendrement Ce manque en moi. Incapable de me résigner Je voudrais encore me rebeller plus loin, plus fort En phase ephemere Libre de sublimer l’instant. J invente un monde Ou le temps se compte autrement Version rose pétillant Soufflant le vent d’une révolte Pacifique et déjantée Parce qu il nous faut rire De ces moments voles À la vie cruelle Soyons encore amoureux Comme au cinéma À toujours a jamais Version jaune cinglee

mercredi 17 avril 2013

texte du jour


Surprise Avec l’age, on se croit à l’abri De ce genre étonnant L’effet bombe Explosant en étoile, Ouvrant la vanne de la peur Sans qu on y prenne garde Surprise en émotions Multidirectionnelles, Oscillant entre l’amer et le suave Le piquant et l’aigreur J’ai perçu le goût de sucre Dans ce mélange grouillant et neuf Qui s’accroche a l’enfance. Surprise par les souvenirs Ceux qui gênent la sagesse Qu on prend en obstacle Au lieu de les laisser choir En chemin au contact d’une aventure naissante Choisir, encore et encore Le corps en vecteur rose Friable mais fiable Observer alors en terrain connu . Avec tendresse, la peur inattendue pour la réduire à un sourire

mercredi 6 février 2013

prose du jour, now


Il suffit de peu pour que les mots me reviennent. Une simple blessure physique, un mot ravivent les émotions, le cœur s’enflamme, il bat trop fort pour que je puisse intervenir. Je le laisse divaguer. J écoute parler mes sens, désorientes, emportes subitement dans des sphères turbulentes. Je lâche les brides, tenues fermement pour éviter tous débordements. J’observe, avec une légère distance indispensable, le délicat bouleversement issu d’une combinaison de coïncidences. Est cette une illusion de relier ces concordances ? Je cherche à me défaire des montées passionnantes d’énergie, de lumière, de sensations pour aller vers une serenite.Celle ci s’approche et s’enfuit face à ces pépites créatives, sensuelles qui viennent assaillir corps, cœur , âme dès que j’ouvre un instant ma porte secrète. La hanche en feu, pour l instant, froissée impose un arrêt dans l intense pratique. Cette douleur nouvelle libère, le muscle blesse est celui de l ouverture,. Enfin, je laisse glisser les larmes sur la posture, chaque jour, sans interrompre le fil positif. Je vis ma blessure comme une pause propice a la réflexion , à la distance bienvenue pour analyser mieux ce qui travaille en moi. La sensibilité à fleur de peau, la détermination a mieux vivre, m’aimer telle que je suis, la maintenant, sans m attarder sur la passe et en évitant de me projeter dans le futur. C est à ça bien sûr qu il faut que je travaille, inlassablement chaque jour. Avec une perspicacité soutenue, un engagement renouvelable. Avec cette base que je solidifie chaque jour je m efforce de contrôler les pulsions de passion, de chair, de rêves. En ce jour de faiblesse, je vois l’ampleur du chemin face à la sueur au-dessus de mes lèvres si je m’autorise à laisser monter les désirs. Oui, je peux encore m ;enflammer, rougir de plaisir, être joyeuse, mordiller la vie avec l ;insouciance de la jeunesse. J ai de la candeur dans le cœur,, cette gaîté amoureuse de vouloir me jeter dans la vie avec amour, bonheur et petillance.. Ces bobos de corps, de cœur du quotidien sont là pour me rappeler l importance de trouver l’amour et la joie partout, en moi, autour de moi, sans pleurnicher sur mon sort, puisque j ai cette chance d’avoir les outils du bonheur avec moi. Je peux être amoureuse de la vie, la peur est partie.

samedi 29 septembre 2012

poesie de pleine lune


Un an que je t aime A regarder le ciel, avant le lever de lune Les reminescences d un désir inachevé Viennent chanter dans le creux de mon oreille Il y a longtemps que je t aime Un an à découvrir l’ampleur D un sentiment irréel En immersion virtuelle avec mon secret Celui de t aimer doucement En solitaire, sans partager nos peaux. Il y a cent ans que je t aime Tu es l âme d un mouvement interne Délicat, totalement prive Qui bat presque par effraction Dans mon cœur désabusé Qui contemple cet amour Avec le détachement fiable de la solitude. j ai ecrit ca , comme ca apres le pototrok, tres sympa.j ecris moins de poemes quand je dois rediger pour le travail.
j observe de nouveaux etats et je les apprecie, j apprend a me detacher un peu, a etre plus observante de mes emotions, je les laisse passer sans les retenir, niveau travail, c est en zone rouge de stress et c est grace au yoga que je tiens. le yoga est un amour evolutif qui m'emmene doucement dans de nouveaux parametres. le fait d etre blessee actuellement me rapproche encore plus de yoga et surtout de mesurer combien dans d'autres moments que sur le tapis, je dirais hors asanas, le yoga a influe mes choix.

mercredi 4 juillet 2012

et ce matin j ai ecris ca


Barrières infranchissables L’absence accompagne mes pas Arpentant la route mélancolique Qui m éloigne des aimes Amies, amours perdus Égrenés douloureusement Au fil des jours J aimerai avoir en moi La force vivifiante Illuminant mon cœur La vivacité éclairée Pour anéantir Les silences Et sauter les barrières infranchissables Qui nous séparent

jeudi 14 juin 2012

road movie, poeme du soir

Road movie Certains soirs ou le vent souffle Un peu trop fort devant chez moi J ai cet appel Pour prendre la route Qui palpite dans mon ventre En dessous du cœur. Que j aimerai te dire Viens, partons En road movie Droit devant nous À sentir le vent Glisser sur nos visages A rêver au voyage Je frémis J’attends pieds dans le sol, Une aventure solitaire Solide valeur, La solitude Présente dans le vide Qui secoue nos appuis Quand on est saisie Par l’oubli Fin d’une love story Qui nous avait fait vibrer Aimant sans retour, Simplement aller, Cruelle réalité D’un silence explosant en vol Je reprends mon chemin Continuant à t’aimer Avec ce goût de nostalgie Que laisse l’interruption involontaire D’un itinéraire sensuellement électrique Viens mon souvenir Me rappeler que je t aime Malgré toi, malgré moi

lundi 11 juin 2012

coeur sec


Cœur sec À attendre en mélancolie Que ta lumière s approche Je raidis musculairement En crampes ancrées Dans ma hanche Qui espérait ta main Pour adoucir Mes courbes actuellement crispées. À veiller le soir Espérant quelques signes Renouant notre lien Pétillements de nerfs Piétinements émouvant De souvenirs aigre-doux Ton baiser en souffle apaisant Ma peau redevenue sauvage À rester silencieuse J ai le cœur sec Comme une fleur du désert Qui attend la pluie Pour s’ouvrir à nouveau À la lumière si douce de l amour.

samedi 9 juin 2012

poeme back home


Je n’ai plus de mots À part ceux de mon corps Qui m’imposent l’arrêt Pour respirer à nouveau Et apaiser mon esprit confronté Aux souvenirs affolés De violences silencieuses Elles surviennent ici et là D’une ville à l’autre Telles de tragédies invariables J’ai choisi de lutter En éliminant les maux passés Pour sentir le souffle De cette énergie ancrée en moi Je vis pleinement au présent Hors ces mémoires meurtries Avec le doux songe D’un passé accepté

mercredi 7 mars 2012

le vide


Vide devant

Quand le vide se voit de l extérieur
C est que l intérieur est plein,
Agite, encombre, préoccupe.
Il n y a plus de place pour le vide
Alors il s’enfuit.
Il vient devant.
Il fait écran avec le futur
Assombrissant l invisible.
Si on s arrête un instant,
Pour vider le dedans
Le vide revient
Remplir et faire du bien.

samedi 14 janvier 2012

invisible



Invisible

Il y a des soirs ou je me sens invisible
Presque transparente,
A en perdre l’odeur
En oublier ma peau.
Ces jours la
Je reve de toi
Je cherche cette lumiere entre apercue
Dont j’ai eu peur
Face a la purete
Je me suis affolee
Eblouie
Maintenant je sais
T’attendre immobile
J’apprend l’invicible
Je te sais
Visible
En moi.
de l’interieur
Invisible bonheur.

dimanche 8 janvier 2012

peu de choses a dire-poeme d un dimanche soir



Peu de choses à dire

J’écoute mon sang
Assise sur une natte
Je sens le présent
L’absence
Bat plus fort.

Je lis sur ma peau
Au sol, en coton fleuri
Je transpire l’ephemere
La parole est frêle
Souffle court.

Je ferme mes yeux
Glissant en ma veine
Je vis l’instant
Tout l’amour s’étire
En infini

Peu de choses à dire
Quand tout est simple.
since the beginning of the year, i am playing with lights, lents, old ways with hipstamatic for iphone, i love it, so surprising.
it was a very quiet sunday in mysore. me facing myself... with lights, poetry and love

vendredi 16 décembre 2011

poeme du soir, comme ca vient


Fuir

De quoi as-tu peur
Face a mes mots
Au point de ne plus
Pouvoir me parler
Me regarder
Il te faut me haïr
Face a mon cœur
Brise, incise
Ouvert au flux
Bon et mauvais
De l’amour
Avorte.
Tu peux mentir
Évitant mon regard
Ma peau tatouée
Gravée des blessures
Laissée par les mains
Les tiennes
Je les aimais
Mais tu as préféré
Fuir.

j ai ecrit cela d'un trait sans relecture, laissant fondre les mots en souvenirs...je ne sais pas ourquoi ces poemes sortent de mon coeur, je m'habitue au fait qu'ils soient la.ils font partie de moi,comme la danse.
tant pis pour ceux qui ont peur des artistes
those poetry, i have to get used to it, they are part of me, like dancing.so if they are scary, it is ok, they are still part of me

photo: les petits secrets du jardin