mercredi 30 novembre 2011

soweto





today , after worshops we went to soweto, to visit sello's mun, it was such a great day, i really enjoy my time here, meeting simple and nice people, work is good and its gives motivation

mardi 29 novembre 2011

zone d'ombre


Zone d’ombre


En traversant le noir
Je tâtonne, j’évite les obstacles
Ralentis le pas
Je dois me voir en imparfaite
Et continuer de marcher
Vers la lumière du dehors
Pour raviver celle du dedans
Avec précaution
J’explore les cicatrices
Du bout des doigts
Pour atteindre
La marque indélébile
Inscrite deux fois en moi
Son premier mot
À l’entrée du noir
Et le dernier qui agresse
Mon corps sous le prétexte
Pervers de m’aimer
Je me replie
Pour me soustraire à la peur
Afin de me battre seule
Avec elle
Pour enfin sortir de la zone d’ombre
Et venir vers toi

lundi 28 novembre 2011

first day in JOBURG




yesterday, Drean and me , we arrived in joburg, this big town of south africa is changing and i enjoy to be here after 5 years... especially to not be alone..
here is a few pictures from our fisrt day, the work was great i really enjoy it

vendredi 25 novembre 2011

ecrire


j ai ecrit deux poemes, je dirais reactifs.je ne suis pas sure que la qualite.je les ai ecrit comme une reponse de participation a la journee contre les violences faites aux femmes, m'inspirant d'un passe proche, presque lointain.
a faire ce travail, sur les cicatrices, sur le soin de soi pour apprendre a s'aimer, je sais que je pourrai etre lumineuse.la vigilance sera mon arme pour ecarter les vampires,l'amour sera ma motivation pour attirer les anges.j'apprend la confiance.
j'ai cette chance du voyageur, celle de croiser des anges sur ma route.
merci a l'ange qui me lit si tendrement, sans jugement.
il m'aide a faire fuir les vampires.



Le voleur de lumières

Il s’approche la nuit, brouillant les pistes
Dans le sombre, on croit à la lueur
Silencieux, il déploie ses cartes
À sa guise, jouant du temps

Elle le voit venir étonnée
Conquise, à sa merci
Mémoires de peaux
Réflexes sordides
D’une vie à échapper
Plus ou moins bien
Aux mains menteuses

Il s’amuse de sa peur,
Bon choix, une rebelle à cœur fragile
À la peau électrisée de lumière
Plus près, il se sert
épuise à se gorger de son fluide

Elle a faibli
À mesurer le vide
À compter les manques, assez pour se dire
Essayes encore, elle voulait le croire
Qu’il y a sur le chemin
Un valeureux guerrier
Illuminant ses yeux

Il s’inspire, joue avec le temps
À saccager les mots offerts
Lâcheté en armes
Mensonge en lame de fond
Nourri au lait de riche
Il œuvre en traitre,


Elle l’inscrit, a même la peau
,Plus de voleurs
Du fond, elle revient
Il suffisait de pousser
Sur le bout des pieds
Écarter d’un geste de la main
Permettre à la lumière d’exister, ailleurs.

Elle est blessée, brûlée d’enfance
Le dire est l’évidence
Lenteur d’amour en chanson douce
Cicatrisant les plaies, les maux
Ne peuvent se dire qu a l’élu
Qui la regarde dans les yeux
Pour ne rien lui dérober, tout preserver.

Doucement, elle apprend à s’aimer
Victoire d’une bataille
Elle dénoue les liens
Qui la fixaient au passe
Prête à agir, sans vaciller, frémir
Pour s’entretenir avec l’amour

Plus de violeurs.

L’usurpateur

Il s’active rapidement
Quand il sent une proie
Digne d’être pillée, collectionnée
Récoltant énergie et pouvoir
Drogues nourrissant sa vitalité

Il la guette, la traque
L’attaque après réflexion
Maîtrisant bien l’affaire
Séduisant au passage
Sa victime éprise

Il la touche doucement
Pour qu elle se détende
La caresse gracieusement
Cachant son vice
Elle cède, envoûtée.

Il voyage à travers elle
Brusquant ce qu il faut
Pour qu’elle perde le fil
Résistant a ses appels
Il est cruel, elle rugit.

Il lui vole sa lumière
Avant de la laisser choir
Se retourne de temps en temps
La regardant souffrir
Disloquee par sa tricherie

Il change de cible, après l’avoir brisee
De n’avoir pas su l’aimer
Elle avale ses cris
Une dernière fois
Se relève, regard droit
ecartant l’usurpateur d’une danse féroce
Elle a appris, petite, à survivre aux voleurs

jeudi 24 novembre 2011

the draw of my tattoo


here it is, on my back along the spine
i dont really exlian why i have to do it, but this is done anyway. for ever.it will not go away.
may be i have to have something that stays for ever.for trust myself. yes it could be this, i will think more to see the answers coming, then when i will be quiet, i will know why

new tatoo


today i went for a tatoo. it is a very special time. i did think of it before travel but because i cut my finger in sugarcanne i did not do it.
today was the good day. it is done, closing a space and in the same time opening a new one. i tatoo a pranayama of numbers
12-48-24-24-48-12
only douts.black.i have no picture of this yet.
le tatouage a ete une xperience benefique, j'avais envisage de le faire avant mon depart au tchad, il faut croire que ce n'etait pas le bon moment.le tatouage s'est annule le jour ou je me suis coupee le doigt en travaillant a la coupe de canne.
mais aujourd'hui, c'etait le bon jour.
le premier tatoo, je l'ai fait pour inscrire une erreur de calcul, des points aussi. avec du rouge.la, plus de rouge.j'ai le sentiment de cloturer une transition pour arriver devant une page vierge.je me sens presque prete, pas tout a fait. le temps de la cicatrisation... mais je suis sur la bonne voix.en retour a moi meme. avec une observation aiguisee du changement en cours. a moi de faire les bons choix.
le 12-48-24-24-12-48 en vertical et en points reguliers le long de la colonne, c'est mon tatoo, au dessus du premier, le carre a points rouges.


picture form my artjournaling-

lundi 21 novembre 2011

les vitres


j ai une emotion tres particuliere a publier ce poeme
je l'ai offert, il m'est revenu embelli
le voici dans son embellie
En cassant les vitres
J’ai saigné
En géométrie variable
Avec ou sans gouttes
Rouge sur blanc
Une braise ardente
Tourmente ma peau

Je continue à taper
Dans le vide au rasoir
Griffant ma chaire
Résistante
Elle s’évapore
L’eau disparaît

Je reste au centre
À regarder
Débris et eaux rougies
Retirant un a un
Les verres diamants
Qui me fendent

À l’écart sans bruit
Je guérirai lentement
Sans fureur en un chemin
De paix où j’avance
Et apprends à t’aimer
En marchant près de toi

autoportrait en sortant du spectacle MOI

dimanche 20 novembre 2011

le silence


Le silence

Depuis petite, je traverse mal cet espace
peuple à mes yeux d’enfants
De mains monstrueuses
Effleurant mes cheveux
Esquive fulgurante
Chute désarmée
Pourtant je me tais.

Au mien, je suis habituée
À le sillonner de l’intérieur
Creusant des galeries
Ou j’accrochais mes cris
Aigus ou rauques
ceux coinces
En fond de gorge

Depuis, il est manipulateur
Accélérateur d émotions
,Abusives, permissives
Indicateur d’une quête de pouvoir
J’ai peur de lui
Agitée, survoltée
Je le fuis.

Je me brise les poings
À laisser des messages
Sur nos murs virtuels
Épistolaires mondains
En goutte a goutte
Diffusant l’accoutumance
De la drogue amour

Longtemps après la fin de mon enfance
J ai choisi de briser le silence
Quittons nous en chemin
Dans un esprit attendri de mots
Abritant nos souvenirs
Je ne veux plus me taire
Alors, parle avec moi.

Parle- moi d’amour
Comme on cueille des brindilles
En longeant le chemin
Sinueux, volubile
Du sentiment amoureux
Celui qui se joue
A deux

ci joint une premiere version,,, la deuw=zieme change quelques details..photo dans la loge pour le spectacle MOI

mercredi 16 novembre 2011

petit tour au jardin

vide dedans


depuis quelques jours, je suis malade. je me vide. c est etrange, je me vide dedans physiquement et intellectuellement.je perds mon essence vitale.
comme si j'etais en manque.
je le suis et ca me met hors de moi, en rage avec moi meme.
j'accepte tres mal d'etre en manque d'amour. externe, interne.
je ne m'aime plus.
je m'aide comme je peux. actuellement, maladroitement.
power, please... come back. don't let me on the floor.
today i will stay in bed and read, draw, look deeply inside for get out of shadows, in peace if possible, with no anger on myself

cinema


en ce moment, des que je vais voir un film, celui ci me bouleverse totalement.je viens de voir Pina, le film de Wim Wenders.
magnifique.
j'ai eu tant de joie et de plaisir mais aussi tant de rage, face a moi meme.
face a ma maniere incredule de foncer vers l'autre quand on aborde la creativite comme une base d'echanges. je suis certainement trop absorbee par l'etat de creativite, je le rend vivant, comme un truc qui grouille en moi.
toutes les emotions traversees se relient en noyau autour du projet. on dirait que TOUT me ramene a ce processus.
je traverse l'ombre dans ce processus actuellement, la colere aussi.
a me taper la tete dans le mur du silence.
j'ai reve d'un partage qui n'existe pas.
je vais retourner vers mon centre, me replier.
apres une si grande ouverture, le repli est laborieux, il pique, tiraille.
je me suis mise en danger, en ouvrant mon espace creatif au passage d'une lumiere et je l'ai perdue, pour l'instant,
retour en zone grise.

mardi 15 novembre 2011

rainy back home day


it went very slow for me to be back home, 2 days.. between airplanes and airports.
my yoga bag is lost...apparently it will come back from somewhere in a few days.
as soon as i get home, it rains. very good, so i can juste stay home.
my body is very weak.like tense and weak together.
my creatuvity was up in this no'where land. i felt it when i am back home. slowly, emergency of art, of creation is coming back, with the smell of the rain, after the storm. it is good to feel alive.

dimanche 13 novembre 2011

poeme. essai 2


Dernière chance

Il fallait une danse lente
Pour apaiser l’offense
Du cœur trahi, étrique
Entier en lueur d’espoir
Jaillie de la lumière
Miroir, ou reflet
Aimer, à deux, en ovation
Avant, après la trahison
Joker de la dernière chance
Effort de croire
Pour évincer le noir
Silence
Perdre ma danse
Intense violence
D’avoir oser
La dernière chance.

last day ndjamena




La concession

Pour le dernier jour du festival, le programme est bien rempli, réservant quelques surprises, certaines plus agréables que d autres.
Dès le matin, petits soucis de transport, avec Lila, nous prenons un taxi pour rejoindre l’IFT ou nous animons conjointement la dernière session d’ateliers. Les stagiaires ont de retard, cela ne gâche pas le plaisir de partager ce moment créatif.
Toujours pas de transport, le chauffeur de taxi ne connaît pas l’hôtel Santana, je me repère aux panneaux de propagande pour lui indiquer le chemin, prendre le goudron lisse, tourner à gauche. Près la boutique Venus des îles, le bâtiment rose du Santana se profile, face aux terrains vagues environnants.
Le temps passe vite, le repas a peine termine qu il est déjà l’heure de se préparer pour la performance dans une concession familialeon prend du retard : l’hotel vient d’etre requisitionne par l’etat. Faire sa valise en urgence, laisser les bagages à la réception, s’entasser dans la petite voiture rouge.
Nous traversons des quartiers très pauvres pour rejoindre la concession, contournant les ronds-points ou l’armée, la police sont encore très présents. Les manifs ont fait quelques morts à ce qu il paraît.
Nous sommes accueillis dans la cour en terre battue.Quelques nattes de plastique, deux trois chaises, un banc sont prévus pour le public.des femmes, des enfants entrent et sortent, on se salue.
Nous attendons l’arrive de l’ambassadeur de France pour commencer l’improvisation. Petit a petit le lieu se remplit, un mélange d’officiels, d’artistes et des gens du quartier.
L’improvisation est forte, baignée de la lumière douce du coucher de soleil. Chacun donne son maximum, les enfants partent en courant quand je m’approche de leur périmètre.
Nous terminons couverts de poussière rouge, après les discours et palabres pour rejoindre l’hôtel Santana. L’ambassadeur nous offre un verre, un repas. Discute avec les artistes. Les photographes du groupe invisibles borders ont rejoint le team, l’échange est généreux. On oublie dans ces moments de rencontres que nous n’avons pas eu l’occasion de prendre une douche…Tard dans la soirée, le minibus de l’hôtel nous conduit au fond d’un quartier populaire vers une annexe vétuste, nous a t on dit de l’hôtel.
Le mot est faible. Pas d’électricité, sanitaires insalubres. Bref, y a mieux pour une dernière nuit.
Chacun s’accommode comme il peut de la situation et c est parti pour une virée nocturne dans une des boîtes locales.c est plutôt une grande salle de bal à l’ancienne, piste carrelée, bordée de sable ou l’orchestre joue de la musique zaïroise, on s’installe sur de bancs, pieds dans le sable et le spectacle commence. Que d’élégance, hommes et femmes rivalisent de couleurs, les chaussures sont parfois hallucinantes.les codes de la danse sont inscrits dans le fonctionnement. le chanteur entame une mélodie, suivie par l’orchestre et la piste se remplit , progressivement, puis se vide totalement à la fin de la chanson.
Ça picole de la bière ou du sucre colore. Je ne me lasse pas d’observer les va et vient sur la piste de danse.
Le minibus a disparu, retour a la voiture rouge et aux navettes parce qu on ne peut pas rentrer a 10 dedans.
Je fais partie des derniers, tiens si on mangeait un poisson grille avant de dormir ? nous voici en bord de route, assis sur des caisses de bière vide à manger dans un grand plat rond un poisson délicieux.
Retour a l’annexe, il vaut mieux être épuise, ça évite de voir la crasse des sanitaires, les draps douteux…
Au réveil, on voit mieux l’étendue des dégâts.
Je marche un peu dans le quartier à tenter de rejoindre l’hôtel Santana pour le petit dej et la connexion. Je suis perdue et tout le monde commente mon passage, après un tourne vire dans le coin, j’opte pour un clando, la moto taxi qui surfe entre les ordures et la poussière.
Santana devient si luxueux subitement…

samedi 12 novembre 2011

expressions


Petits mots tchadiens

Chaque jour, lors des trajets dans la petite voiture rouge du festival, ou l’on s’entasse, j’ai ce plaisir de lire les panneaux publicitaires, ceux des boutiques ou ceux de la propagande pour le président. Je préfère les premiers, ils sont illustres de peintures naïves et les slogans sont incongrus.
Cabine téléphonique lueur d’espoir
Alimentation de la bienvenue
Boutique un peu de tout
Création du rêve des vagues des îles
Carrefour de l’amitié
Les exemples ne manquent pas, hélas, il est difficile de photographier, voir même dangereux.
Ici, le goût du palabre est développé. Après chaque spectacle, les questions fusent au micro, souvent surprenantes, mais le débat est riche, enjoue, rythme.
C est un grand plaisir de jouer un spectacle.
Hier, nous avons fait une improvisation collective, precedee d’une prestation du ballet national, belle soirée animée, il manquait un peu de public, dans ce Santana hôtel qui est surréaliste.
C est le dernier jour, nous irons improvise dans une concession familiale, l’ambiance sera au rdv… La fête finale sera chaude, même si la nuit est le seul moment frais d’une journée.

vendredi 11 novembre 2011

poeme de peau, essai 1


Ma peau.

Ma peau parle.
Subitement, elle bavarde.
Brisant un long silence
S’affirmant prête
A partager, à donner.
À sentir glisser sur elle
Le frisson cache, sans résister.

Ma peau a eu confiance en toi
Effleurée du bout des doigts
Offerte sans reminescences
Au contact présent
Oubliant l’enfance indignée
prête à aimer
Le goût de tes baisers

Ma peau se referme
Trahie, en folie
Évincée, tu as menti
Épuisée quand tu as fui
Chagrin mesquin
Brûlée d’avoir aimé sans méfiance.
Amère à pleurer.

Ma peau va se taire
Pour éviter l enfer
Ma peau se tait, se referme à jamais
Elle n a plus confiance.

jeudi 10 novembre 2011

light:ift:tchad

cornered


ce soir, je dois jouer CORNERED au tchad, a l institut francais et c est un peu raide... tourista en cours, emotions ebranlees, planning contrarie par des annulations, des manifestations... je me sens comme une eponge qui a absorbe toute la violence , les armes, la pauvrete.
j ai cet espoir d evacuer mes tensions dans la danse ce soir...

mardi 8 novembre 2011

toit

premieres heures au tchad



Premières heures au Tchad

Dès la salle d’embarquement, on sent l’Afrique venir a soi. Le vol est bien rempli, les gens se saluent le personnel navigant était très agréable. Le temps passe vite, 6 h de vol, ce n’est rien.
À la sortie de l’avion, la chaleur vient frôler nos peaux, malgré l’heure tardive. Les formalités sont un peu longues, j’observe le va et vient très sonore de l’aéroport.
Annabelle, la co-directrice du festival à voyage avec moi.Nous sommes accueillis par Yacinthe, Alain l’administrateur du festival et Nimrod, le célèbre écrivain tchadien, invite d’honneur du festival.la petite voiture rouge a bine du mal à contenir la fine équipe et nos bagages, on s’entasse, valises sur les genoux et c’est parti pour un trajet nocturne commente en direct par Nimrod.
L’hôtel Santana est au cœur de la ville, les salutations sont chaleureuses, tout le monde dit bonjour, demande comment va la santé, si le voyage était agréable…
Nous dînons en terrasse, à discuter du festival, des artistes qui doivent arriver demain, des soucis d’organisation, malgré l’heure tardive, on prend le temps de se rencontrer.
Le lendemain, il y a des formalités à faire, s’enregistrer à la police pour confirmer sa présence sur le territoire, récolte de papiers à droite à gauche, c’est une bonne occasion de découvrir le centre ville, borde de bâtiments plus ou moins militaires. Il n’est pas autorisé de faire des photos, mais je filme en cachette nos trajets. Il fait très chaud, même si les locaux disent quel a brise est fraîche… Tout est relatif. J’aime nos trajets entasses dans la petite voiture rouge du festival, j’aime voir les couleurs, les gens dans leurs habits traditionnels, les mobylettes, le bruit, la poussière.
Nous allons déjeuner à l’institut français, bonne ambiance conviviale.
Le frère aine de Yacinthe est décédé hier et cela perturbe le déroulement de la journée, chacun aide comme il peut, je découpe des invitations, une fois de retour a l’hôtel.
J’ai entr’aperçu le marche, trop rapidement, et je sens que je vais craquer sur les étals de tissus colores, les wax…je vole quelques images par ci par là, la lumière est si blanche que les photos en sont presque pales.
Aujourd’hui le travail commence, mini-filage technique a l’institut français… et ensuite, se mettre à l’ombre sous les grands arbres semble être ce qu’il y a de mieux…Attendre la brise du soir, discuter, palabrer, sourire.
Demain, à l’aube, j’irai me promener a pied près de l’hôtel pour saisir quelques images dans cette sublime lumière matinale.

samedi 5 novembre 2011

on the road for tchad



after 2 days in paris, on the road for tchad... even if paris was ok, nice exposotion etc etc i am very happy to go for TCHAD, it will be so fascinating to discover a new country and to work there for festival
here is a picture of me in beaubourg and one of Munch's painting

jeudi 3 novembre 2011

night2


for AEDM
before travel

il fallait peut etre...


Il fallait peut-être garder le secret

À me voir ainsi, sur le canapé, crâne rase, cœur brise
Je me dis qu il fallait peut-être garder le secret,
Me taire encore.
Me taire plus fort.
Personne n est prêt à recevoir le désespoir.
Tout le monde a peur du noir.
Tendre la main dans le noir d un couloir ?
Par peur de décevoir, on s’enfuit dans le noir,
Pour ne pas voir l’autre choir.
Détourner les yeux, faire demi-tour
Partir au petit jour, pour éviter l’amour.
Vite, vite, courir toujours
S’envoler au loin
Masquer le chagrin
Se cacher dans un coin.
Honte a moi d’avoir briser le secret
Le mal est fait, effet mâle
Qui se tire quand tu déballes
Ce qu’il fallait pour aimer vrai.
Il fallait peut-être garder le secret
Pour te voir rester à mes cotes
Il vaut mieux que je m’en aille
Avant te dégoûter de mes failles.

photo du jour sous la pluie de montpellier

mercredi 2 novembre 2011

lavomatic


i enjoyed this video

light or night


Désespoir


Un jour, il y a eu l’espoir,
Face au vide, je rejoins le désespoir.
Je ne veux plus croire
Que je vais sortir du noir.
Il est là, en moi.
tu t’enfuis quand tu le vois.

Seule, je m’enlise
De ma propre bêtise
Je me méprise
De m’être éprise
Alors qu il restait du noir
En dose désespoir

En mode couloir
Sortir le mouchoir
Face au miroir
Je vois mon noir
Tuer l’espoir
Je me laisse choir.

mardi 1 novembre 2011

Lucy



my real life work for start ADEM