mercredi 31 août 2011

wiscasting: what do you wish to say no ?


this is not so easy to answer, i will say again and again i wish to say no to smoking... because this is what i am going trhough now..
but i also wish to say no as racism, as war and this is a better wish, less selfish..
i wish to say no to all kind of exclusion

picture from mandalayogashala mysore

dimanche 28 août 2011

sunday karmayoga


i try karmayoga
create a group on facebook, myhomeyoga, for share about my own yoga, hope some others will share as well...
id di lot of things so busy as a non smoker...
nejoy my sunday at home, really.
i do karmayoga with the garden
here is the ginger from garden

samedi 27 août 2011

about yoga


when i have to deal again with my lonely individual practise, sometime my body becomes hard , like now, with this knee painfull to slow me down.
todat i finish first serie, now i have to keep it no more escape and add a few postures like handstand, working more on back bending...

i so wish i could find something to release more into knees and be abble to do padmasana...
any suggestions ?

picture : golden temple, wall paintings

jeudi 25 août 2011

how does it feel to be back home with no childrens ?


it is the first time that, when i come back home, there is no more children... all gone, so far.
it is suddenly very quiet, after india. it is for sure very different.
how is it gonna be to be only...two ? or alone ?

i still have a bit of me in india
it is very hard for me to be a smoker free. i have to push to find the benefits, to feel trhem more in my body.
i went for a walk, nearby the sea, on the road with my funny baskest shoes...
i think i have to make some rituals to help me on the no smoking road... a way to NOT escape meditation.
here is a detail picture from the meditation mall , for study's monk at golden temple

mercredi 24 août 2011

what do i wish to enjoy?


as jaimie asked on her wishcasting day, what do i wish to enjoy ?
i wish to enjoy more to be a non smoker personne and to feel free of addiction, because it is really good but really hard some days...
picture of the study space in golden temple, india

dimanche 21 août 2011

on my way home





Bye-bye Mysore


Ce matin, j’ai fait le tour du quartier avec attention et tendresse. J’ai pris le temps de regarder ces petites maisons colorées, d’observer l’activité matinale : les femmes qui dessinent des rangoolis ou qui lavent leurs vaisselles à la fontaine, les hommes qui boivent le thé, les échoppes qui s’ouvrent.
Bien sûr je suis allée acheter la dose quotidienne de guirlandes de jasmin et j’ai photographié des vaches.
Je suis attachée à ce quartier populaire.
Mysore, tu vas me manquer, il est temps de faire le chemin du retour, la route pour retrouver ma kaz sera longue, parfois, il est nécessaire de ralentir pour apprécier de rentrer.
Bye bye Mysore, see you soon

hairdresser



today i went for a small haircut

mercredi 17 août 2011

food


Le goût des épices


Chaque jour, je me régale avec la cuisine locale. L’inde du sud offre une variété de mets où les épices colorent allégrement les plats.
Dès le petit-déjeuner, le palais est sollicité par de nombreuses sauces accompagnant les galettes de type, chapatti (farine de blé) ou dosa (farine de riz), les couleurs sont dans l’assiette du matin au soir.
Selon les heures, la carte varie et les restaurants sont pleins, sans compter toutes les carrioles ambulantes qui bordent les trottoirs où l’on mange sur le pouce, assis sur une murette ou debout, près du comptoir.
Le lait est très présent que ce soit dans les boissons ou dans les pâtisseries ultra-sucrées dont tout le monde raffole.
Parfois, je me laisse tenter par un plat inconnu, soit au hasard de la carte, soit en montrant une assiette qui passe destinée a la table voisine.
En ce moment, le midi, on pique nique dans notre chambre, pour gagner un peu de temps, vu l’enchainement des cours, il est bon de manger léger avant les cours intensifs.Le soir, on part faire un tour en ville pour dîner dans une des cantines : shivaprasad, café aramane, inda’s paras café…
Hier, nous avons dîné chez auntie. Auntie cuisine chez elle, le lieu est connu par bouche à oreille et j’étais contente de faire découvrir sa cuisine très simple mais délicieuse a la bande de yogis du jour…on mange dans un salon minuscule, sur l’unique table, avec la télévision à fond. Chez auntie, c’est genre table d’hote, un plat unique est servi dans les grandes assiettes en fer-blanc, chacun débarrasse avant de reprendre le long couloir pour ressortir. J’aime bien l’ambiance, cette table unique où on loge a 6 ou 8.
J’aime sa maisonnette au fond d’un couloir, avec des cours intérieures et les voisins qui saluent sur le passage.
Au menu du jour : galettes, trois sortes de légumes, curd, tchai… Le tout pour moins de un euro.
Une adresse à conseiller dans le quartier populaire de laxmipuram, bien éloigne des standards touristiques de Gokulam, le quartier fétiche des yogis occidentaux.

wiscasting, choose yoga


as jaimie asked today on a wishcast day, i answer i would like to choose yoga, peace and freedom
yoga because it is helpfull for so many things
peace because we all need it
freedom because it should be a right for all and unfortunatly it is not

lundi 15 août 2011

bain de foule




Bain de foule


Depuis vendredi, les festivités s’enchaînent, entre la fête de Laxmi et celle de l’indépendance, Mysore est soudainement envahi par des milliers d’indiens curieux.
Les week-ends sont généralement très prises des tour operator, vu que le palace est illuminé 30 mn le samedi et une heure complète le dimanche. Ces deux jours féries en amont et en aval du week-end semblent avoir multiplier les touristes.
Il y a la queue de partout, devant les temples, devant les musées, devant le palace et devant les arrêts de bus. C’est une foule colorée et sonore qui grouille dans toute la ville. Notre petit quartier de laxmipuram est moins fréquente, il n’y a pas d ‘hôtels ou de sites touristiques.
En ce dimanche, il serait dommage d ne pas profiter du temps sec et du soleil.
Nous voici en piste direction le temple de chamundi Hill. Ce n’est pas la première fois que je visite ce lieu mais c’est la première fois que je vois un embouteillage humain de la sorte.
Il faut suivre le mouvement.
On redescend jusqu’au célèbre taureau assis, qui est plus bas sur la colline, en dessous de ce fameux temple, grand lieu de pèlerinage soudainement investi par tous les shadus de la ville. Il y a une concentration de mendiants, de singes, de pèlerins, de prêtres, est impressionnant.
Nous décidons de faire le trajet retour à pied, avec ces immenses escaliers sans fin. Si la descente nous épuise, j’imagine aisément la fatigue ressentie par ces femmes qui s’agenouillent devant chaque marche montée pour y déposer une empreinte de poudre de couleur bénie , ce doit être pour exaucer un vœu, une forme de prière grandement ritualisée.
Nous avions rdv avec une amie pour le déjeuner et c’est avec beaucoup de retard que nous la rejoignons. Les restaurants semblent pris d’assaut.
La pause dans nos chambres est la bienvenue, il faut reprendre un peu de force pour affronter le deuxième bain de foule du jour, celui du soir, pour la visite du palace…
Je ne me lasse absolument pas de ce spectacle féerique , de ce millier d ;ampoules qui illuminent toutes les façades, tours et tourelles de ce bâtiment magnifique, rococo à souhait. Hors du temps. C’est les mille et une nuits.
Vendeurs ambulants, touristes qui se photographient devant les entrées, pickpockets, calèches à chevaux, familles, tout le monde a rdv à 7 pile pour admirer le palace ainsi pare de lumière. Il est vrai que cela vaut le détour, même si cette heure lumineuse plonge dans le noir certains quartiers de la ville.

samedi 13 août 2011

full moon day in mysore





Des jours et des lunes

Quoi de mieux qu’un jour de pleine lune pour profiter pleinement d’un repos physique bien mérite.
Le corps prend ses habitudes et la grasse matinée se résume à se lever légèrement plus tard. Avec Edith, nous avons décidé la veille de nous rendre au petit lac pour une marche méditative, avant le petit-déjeuner. Le rickshaw tombe en panne et rouspete quand on décide de descendre pour en chercher un autre. Le hic, c’est qu’il n’y a pas grand monde a ce carrefour… Après 5 ou 10 mn, nous voici dans un véhicule en état de marche qui nous conduit au lac. La balade est belle, très simple.
Après le cours de mudra et de pranayama (pas de repos pour l’esprit), nous pensions nous rendre au tipu palace. Mais l’idée de passer deux heures dans un rickshaw ne nous fait pas envie alors on change nos plans pour opter sur un tout autre registre : le massage ayurvédique.
Quel délice ce massage a 4 mains suivi d’un repas ayurvédique d’une finesse aux saveurs teintées d’orient, et une touche finale un peu particulière : se faire chatouiller les pieds par de petits poissons qui nous grignotent les orteils…Très spécial…
De retour dans notre quartier, après une pause thé, on repart en balade, en direction du marche, encore plus magique a la tombée de la nuit. La ville se pare de lumières en prévision de la fête nationale. En chemin, on craque sur les posters typiquement indiens, avec ce beau lettrage aux formes arrondies.
C’est agréable ce clair de lune pour la promenade
Le petit marche est magnifique de nuit, tout en lumières et guirlandes, les odeurs d’huiles essentielles, d’encens faits a la main ( nous assistons à une démonstration avec un de ces vendeurs futés qui parlent 3 ou 4 langues) sont encore plus présentes que le jour.
Et là, on craque, moi sur les images anciennes ou peintures a la main de Ganesh ; Edith sur les huiles essentielles…
On a bien marché toute cette journée, si on avait mis le compteur de pas, on aurait explosé les scores.

vendredi 12 août 2011

entre les cours




Entre les cours



J’ai l’impression que le temps me file entre les doigts. Comme si, au final, il y avait peu d’espace entre chaque cours.
Parce qu’entre chaque séance de yoga, il y a les petites choses de la vie. Comme la lessive, les repas, les courses.
Prenons les courses comme exemple : on se dit, tiens je vais aller acheter du pain, puis, on flâne, on fait exprès de se perdre dans le quartier à photographier des vaches ou des ganesh et l’on achète un tas de trucs en oubliant le pain.
Je tente de nouvelles expériences, comme celles d’aller a la clinique des yeux pour en ressortir avec des lunettes, ou encore cuisiner des légumes inconnus, acheter des bricoles incongrues, chercher des images de ganesh dans de minuscules échoppes et en trouver encore que je ne connais pas, photographier de l’insolite.
Tout est possible, l’inde offre au voyageur curieux une palette infinie de découvertes.
Ce soir, le rickshaw du retour avait une sono genre tunning, trop drôle.
Chaque ballade réserve son lot de surprises.
Demain full Moon = repos, ou presque. Pas de yoga (asanas) mais mudras oui. L’après-midi sera l’occasion d’une nouvelle promenade : tipu palace en prévision.
Enjoy the full Moon.

jeudi 11 août 2011

no smoking is still here



the cow of the day...it is a few days that i am a new smoker free, how do i feel ??? exactly much better than when i smoke but sometimes , in the day, i feel like smoking... i am not sure i will be a non smoker for ever may be it will last only few days, but i am happy to do it now... may be india is helping me, yoga is helping me i have to stick to this because i can enjoy more my practise, and i will say : i can enjoy more my life.

thanks to all of you , blogger's friends because all the comments helps a lot for motivation, i am so lucky to have support

mercredi 10 août 2011

What inspiration do you wish to follow?


What inspiration do you wish to follow? this is the wish from jamie
my inspiration, right now is coming from meditation and the no smoking road that i started to follow again from 3 days.
i know that meditation is so rich and deep for me, i can see all the changes inside and also they start to be seen from outside so i get so inspire from this
about the no smoking, i felt 3 times on it this year, so i really wish to be inspire more from the non smoking road
as a non smoker i can smell better the jasmine's flowers

dimanche 7 août 2011

sunday, no yoga but meditation





Le dimanche a laxmipuram, c’est le jour de la lessive


Le mandala center est ferme le dimanche et c ;est agréable de se sentir en vacances, de traîner jusqu’à 7 heures avant de faire un tour à pied pour tomber pile au moment où les ruelles rangoolisent. Particulièrement, le dimanche, la rue appartient aux femmes, qui font la lessive, ensembles, après avoir balaye et arrose le devant de leur porte.Elles profitent de l,humidité du sol pour dessiner cet art quotidien et ephemere : le rangooli. J’ai fait lentement le tour du quartier, pour profiter de chaque instant.
À 8 h, j’ai accompagné Park dans son parcours de marche méditative en extérieur. Une expérience silencieuse qui perçait le brouhaha, celui-ci s’attenant aux abords du lac. Le sol un peu boueux permet une marche lente facilement. Au début de la promenade, on croise beaucoup de monde, comme de partout, puis quand on suit le parcours complet, le tour du lac, il y a ;oins de monde. Les arbres sont immenses, surplombant les berges. De nombreux oiseaux vivent ici.
C’est un poumon vert au cœur de la ville, derrière l’université.
La boucle se fait en une heure quinze environ, allez une heure trente avec la méditation assise finale. Nous reprenons un rickshaw pour rejoindre notre quartier et avaler silencieusement notre iddly du petit-déjeuner.
De retour au logement, je suis ressortie seule entre les averses pour marcher dans le quartier. Les étendages multicolores égayaient le gris du ciel, peu importe le temps, la vie, ici, est 100 pour cent colorée.
J’ai apprécié la tranquillité de ma chambre sous la pluie. C’est le jour de lessive, pour le ciel aussi.

samedi 6 août 2011

daily life in mysore




Des journées bien remplies

Depuis mon arrivée à Mysore, je n’ai pas encore pris le temps de me rendre au centre ville, dans le quartier du marche, un coin que j’affectionne particulièrement. Il faut dire que mes journées sont bien remplies.
6 h cours d’asanas jusqu'à 8h.
Petit déjeuner, une étape que je ne manque pas, selon les jours, je vais au petit resto au bout de la rue ou je mange dans ma chambre.
J’aime cette rue, je reconnais les visages et je ne me lasse pas d’observer en détail les minuscules maisonnettes colorées. Il me semble découvrir à chaque passage un recoin bizarre ou une maison que je n’avais pas vu tellement elle est petite et coincée entre les autres.
J’ai mes rituels qui s’installent tout seuls. Je connais les marchands du coin, parfois, j’achete des trucs iabracadabrans juste pour échanger, pour soutenir économiquement le quartier.
Le marchand de fleurs, le laundry man, les échoppes où l’on vend de tout et le tea shop du coin deviennent incontournable et au final, je n’ai rien le temps de faire d’autre si ce n’est de revenir sur mes pas pour le cours suivant.
10h30 : mudra, la durée de ce cours est variable et s’allonge de jour en jour quand BNS Iyengar part dans des histoires mythiques pour expliquer un des mudras.
Le déjeuner : je le partage souvent avec Park, le moine sud-coréen qui habite en face de ma chambre. On varie sur les cantines locales mais celle qui revient le plus c'est la plus proche.
Je tente la sieste… Ou je lis.
14h30 : depuis 3 jours, je fais office de cobaye pour les yoginis qui suivent la formation pour enseigner selon la méthode du Mandala,. La formation dure 6 semaines et se terminait aujourd’hui. A la même heure, à partir de lundi, j’irai au cours spécifique sur le dos, plus précisément les flexions vers l’arrière.
Apres, je suis crevée, au mieux, je me traîne au tea shop, récupérant sur le passage le linge ou une guirlande de fleurs. Le plus souvent, je me douche avant de m’écrouler sur le lit.
18 h : méditation avec Park.
Il fait nuit. Hier, c’était un dîner de clôture en l’honneur des 4 nouvelles diplômées. Chacun emmène quelque chose. On cause de yoga en international. Les 4 diplômées illustrent bien la sensation : une Japonaise, une thaïlandaise, une ukrainienne vivant a Taiwan et une Italienne.
J’ai aimé faire le cobaye pour elles, l’examen final, le dernier cours qu’elles ont donne toutes les 4 etait très émouvant. Ce regroupement soudain de yoginis des 4 coins du monde, débutants ou confirmes me laisse souvent pensive ou perplexe. Rapidement, je cherche à m’éclipser pour regagner ma chambre sonore. Mes fenêtres donnent sur une de ces ruelles très fréquentées où les gens vivent pratiquement dehors, sur le perron. C’est fou comme tout le monde se lève très tôt ici, et surtout se couche très tard. La nuit, je cherche le silence. Je le décrirai fugace, presque irréel, comme in instant de grâce dans la vie grouillante du quartier se situant entre 1h et 3h du matin. C’est un silence colore avec une fine lame de sons, comprimes, prêts à exploser le plus tôt possible.
L’inde s’écoute, se vit par ce son, inimitable.
Ce soir, après la méditation, j’ai pris mon temps pour traîner dans le quartier. Le dimanche, le mandala est ferme. Avant de pratiquer un peu seule, je vais faire le tour du quartier pour photographier les rangoolis, ces dessins que les femmes font devant leurs maisons.
pictures cow of the day, view from my little window

lucy in majunga



i received those pictures today, it was the last lucy's performance

mercredi 3 août 2011

which door do i want to open ?



as jaime asked in her wishcasting project, which door do i want to open ?
i think the door for spirituality.
yes, i want to open the door for spirituality and the luck is one my way. today i had a private class of meditation, walking one, with Park, on koean zen momk that i did met yesterday. his room is next to my door.
i really enjoy it, half an hour for the first day...
here in mysore, in think i am on the good road for open the spirituality door

pictures of Mysore's doors

mardi 2 août 2011

india



L’arrivée

Il faisait a peine jour quand je suis sortie de l’aéroport de Bangalore. Le vol était long, surpeuplé et bruyant, comme un avant-goût indien.
Je trouve le chauffeur avec mon nom, je ne le connais pas. On marche un moment avant d’atteindre le véhicule. Ils sont deux en fait. Le trajet démarre, patience, c’est encore long.
D’ailleurs, c’est étrange, on ne suit pas le même itinéraire. nous voici en ville, dans un quartier pauvre à attendre je ne sais quoi. Je m’agace et d’un coup, tout reprend son cours. On devait, soi-disant changer de véhicule et au final, un des chauffeurs s’en va et nous reprenons notre périple. J’ai bien du mal a rester éveillée, mais la conduite archaïque ne me laisse pas dormir non plus. Je somnole. Il y a des embouteillages, du monde, du bruit, des vaches et des piétons qui traversent la 4 voie sans crier garde. Chaque minute me semble dangereuse, mais nous arrivons enfin à Mysore. Je guide ce chauffeur qui ne sait pas ou se trouve le mandala center.
Et voici des visages familiers : Shantala, Harish, Manou, le loueur de chambre.
Cette année, j’occupe la chambre 9, celle qui est au fond de l’allée. Le studio a 2 pièces et une minuscule cuisine et salle de bains… Sans eau chaude, avec un baquet et un seau.
Les draps ne sont pas prêts, ça va arriver…
Je vais directement au mandala yoga center pour m’inscrire aux cours et commencer le stage des demain.
BNS Iyengar est là. J’hésitais à prendre le cours d’asanas avec lui, mais il me dit qu’il ne donne plus le cours en ce moment, parce qu, ‘avec la pluie, ses jambes lui font mal. Il enseigne par contre les mudras et le pranayama, la philo…. Chidananda, son élève, s’occupe des asanas. Le cours est à 6 h., . je commence demain.
Avant de regagner ma chambre, je déguste une énorme salade de fruits : mangue, papaye, ananas, grenade, banane…
Après la sieste, j’ai pris un rickshaw pour me rendre a More, une des grandes surfaces de la ville. Complètement loufoque le supermarché.
J’achète du thé, des épices, de l’encens, une écharpe et surtout un parapluie… Vu le temps, cela me sera utile…
Avant la nuit, j’ai marché sous la pluie avec mon parapluie, a roder des mangues dans le quartier, ça m’a fait plaisir de saluer les petits marchands ambulants du coin, d’échanger un sourire ou quelques mots en achetant la guirlande de jasmin ou en buvant un tchai au stand du coin… À la tombée de la nuit, je rentre, espérant un brin de calme.
Vu le niveau sonore de la rue, pas de doute : je suis bien arrivée, bonjour mother India.

for a change i write in french, please use translator cheers