Ce que j’aime dans la danse, c’est cette perception aigue des états de corps, une fréquence en basse résolution, une onde continue, fragmentée des vibrations variables, s’adaptant aux émotions.
J’aime cette recherche active, autour des variantes quotidiennes du corps face à un mouvement répète inlassablement pourtant chaque jour unique.
Je vis les états de corps comme un processus unique, intense, quotidien.
Dans ce type de travail, il faut faire face aux failles, êtres attentifs aux signaux, ouvrir ses antennes pour augmenter la perception.
Pour moi, la danse est liée a l’amour. À la femme. À l’essence féminine primaire que je voudrais libre.
La liaison entre Lucy et F em’ilite vient du corps, de cette écoute privilégiée, sensorielle, sensuelle, rigoureuse.
C est un voyage dans la rigueur et dans l’amour, le mystique et la féminité qui se développe dans chacune de pieces.
Ce que mon corps a du mal à dire, je le dis avec les mots, ces poèmes qui plaisent aux femmes et qui font peur aux hommes sont les paroles chuchotées par les femmes du monde que j’ai croisé, ecoute, aime.
Ce sont leurs mots d’amour, les cris de chair, leurs sueurs de vies qui les rassemblent quand les mots deviennent insignifiants face aux corps vibrants de nos danses insulaires, femmes uniques dans leurs îles vierges, leurs jardins secrets, leurs désirs enfouis.
d'une ile à l'autre, je vais rentrer chez moi dans quelques heures... pour repartir. un voyage personnel, en lieux répétitifs. un journal de bord en papier et en poèmes.
vendredi 18 octobre 2013
texte de travail
Ce que j’aime dans la danse, c’est cette perception aigue des états de corps, une fréquence en basse résolution, une onde continue, fragmentée des vibrations variables, s’adaptant aux émotions.
J’aime cette recherche active, autour des variantes quotidiennes du corps face à un mouvement répète inlassablement pourtant chaque jour unique.
Je vis les états de corps comme un processus unique, intense, quotidien.
Dans ce type de travail, il faut faire face aux failles, êtres attentifs aux signaux, ouvrir ses antennes pour augmenter la perception.
Pour moi, la danse est liée a l’amour. À la femme. À l’essence féminine primaire que je voudrais libre.
La liaison entre Lucy et F em’ilite vient du corps, de cette écoute privilégiée, sensorielle, sensuelle, rigoureuse.
C est un voyage dans la rigueur et dans l’amour, le mystique et la féminité qui se développe dans chacune de pieces.
Ce que mon corps a du mal à dire, je le dis avec les mots, ces poèmes qui plaisent aux femmes et qui font peur aux hommes sont les paroles chuchotées par les femmes du monde que j’ai croisé, ecoute, aime.
Ce sont leurs mots d’amour, les cris de chair, leurs sueurs de vies qui les rassemblent quand les mots deviennent insignifiants face aux corps vibrants de nos danses insulaires, femmes uniques dans leurs îles vierges, leurs jardins secrets, leurs désirs enfouis.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
magnifique ton texte...
Enregistrer un commentaire