Quelques heures
La notion de temps
Me pèse, a sentir les minutes
Couler lourdement
Une a une, lentes agonies
À regarder dedans dehors
J aimerais pleurer
Pour quelques heures
Et t oublier enfin
Toi que j attends en secret
Je t’aime encore
A corps et à cris refuses
Ettouffes chaque jour
A survivre jusqu’à la nuit
Et te retrouver en rêve
Dans l’imaginaire
Je te vois, je te sens
Mon cœur te parle
À mots ouverts
Et j’ose te dire
Ce que je tais
Quelques heures à pleurer
Des milliers en désir
Dans mille ans
Je serai toujours là, pour toi.
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