d'une ile à l'autre, je vais rentrer chez moi dans quelques heures... pour repartir. un voyage personnel, en lieux répétitifs. un journal de bord en papier et en poèmes.
lundi 17 janvier 2011
bali s beach
Ballade en bord de mer
La grande plage qui relie Kuta à Seminiak en passant par Legian est très fréquentée, à n’importe quelle heure de la journée.
Cette année, je me promène plutôt vers 15h, si le ciel le permet. En saison de pluie, les averses sont fréquentes, d’un coup, les nuages deviennent sombres et la pluie inonde tout sur son passage. Pluie tropicale qui souligne les odeurs ou est ce mon nez non-fumeur qui se délecte des effluves bondissants, étouffants ou florissants.
Il n’y a pas un centimètre de plage inoccupée ! parasols et chaises longues forment une ligne parallèle au bord de mer ;vendeurs ambulants se faufilent entre les bancs pour proposer à qui veut massages, tatouages au henné, cerfs-volants, amulettes, boissons fraîches et plus si affinités.
En marchant, j’écoute en ballado-diffusion des émissions choisies et téléchargées qui m’emmènent ailleurs ou m’informe d’un sujet spécifique. Je navigue entre France culture, France inter et couleur 3, passant d’un documentaire sonore à une interview, le tout en total décalage avec ce que je vois.
Certains marchent comme moi, écouteurs aux oreilles, d’autres posent devant les vagues.
L’océan est déchaîné depuis quelques jours, les drapeaux rouges flottent et peu de monde brave l’interdiction de baignade.
Même quand celle-ci est autorisée, ce n’est pas ici que je me jette à l’eau : trop de déchets plastiques longent le bris des vagues. Je deviens difficile à vivre en bord de mer à l’année, la pollution m’empêche de mettre un pied à l’eau.
Ici, toutes les nationalités sont présentes : l’Asie avec ses touristes japonais, chinois ou coréens qui viennent mouiller leur bas de pantalon sous des grandes capelines pour les dames, les messieurs sont fans de casquettes. L’Europe et l’Australie avec ces corps huilés qui grillent au soleil, corps gras, roses et rouges brunissant avec le temps, étalés, débordant de maillots riquikis ou branchés, musclés et tonique genre surfeurs blonds platine…
Les locaux sont ceux qui travaillent, quoi que les mauvaises langues disent que les balinais ne traînent pas le long des plages, ce sont des javanais qui se laissent noircir ainsi par le soleil !
Les balinais, eux restent à l’ombre ou viennent porter des offrandes sous les gros arbres en bord de route, cette route remplie d’hôtels hors de prix ou de boutiques luxueuses selon si, on bifurque vers le nord ou vers le sud.
Walk on the beach
Each day i take a walk on the beach nearby, just around the corner of the hotel.
Somedays the tropical rain is against me but tropical rain is also bringing smell out, bad or good. My new no-smoking nose is open here with those jumping smells.
Actually i go to the beach aroune 3 pm, it is full and all nationality are here, not doing the same things… i will say that whites are burning theirs fat on chairs when others are doing sports.Asian people love to take pictures of themselves near the waves.local people are the workers. They sale massages or littles gadgets, cold drinks…
The beach is very busy, all day busy.
The beach is also very dirty ! lots of junks everywhere, so i don’t swin here, just walk with my ipod on ears, watching bodies, smiles and diversity of humanity
i write ;ore easy in frenc when it is time to talk about travel, still not smoking as a personnal victory
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3 commentaires:
sorry for the bad spelling, i am on old computer and some letter are not working well
Hi Valerie, Congratulations on your no smoking! Well done! Thanks for sharing your observations of the Bali beaches; wish I was there to take a walk on the beach!
Exotique !
et la danse, dans tout cela, Valérie où se niche-t-elle... ?
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