samedi 27 octobre 2012

vieille peur


peut etre parce que je rentre enfin chez moi, j ai de vieilles peurs qui remontent, peur de fumer ? surtout mal face au silence, face a tous ceux ou celles qui s abstiennent de me repondre, qui me fuient, qui me haient... pourquoi ai je tant besoin d amour ? suis je capable d aimer ? dans ce passage de vie , je me sens moche, mail aimante, peu desirable, je suis en negatif de moi meme... vivement que je sois chez moi, la fatigue m empeche d y voir clair

samedi 20 octobre 2012


La frontière Je n’ai pas le souvenir, depuis l’enfance, d’avoir passe une frontière à pied., on le fait en voiture, , parfois en bateau, ou en train, le plus souvent : en avion. De manière imperceptible. Une file d’attente, assez rapide, dans un aéroport, accompagnée d’une fiche à remplir, voire deux, c’est un acte banal, une simple formalité pour nous, possédant un passeport européen.a pied, ca se complique Apres quelques heures de voiture, sur une route toute droite, plate, sans virages ou presque, l’arrivée à Poi pet prend une autre tournure, ça grouille. Poussière, chaleur, odeurs de poubelles, trafic, tout redevient ville. Le rythme change, s’accélère, il faut un porteur à bagages agrée. la tenue des gens qui travaillent surprend au départ, mais s’explique rapidement, cette chaleur écrasante, mêlée a la crasse et a la pollution nécessite que l’on soit couverts, avec masques sur le visage, chapeaux couvrants, gants, chemises à manches longues. Le pyjama à fleurs et le couvre chef à carreaux sont très prisées par ces femmes qui travaillent non-stop sous le soleil. Un homme au chapeau de paille nous indique le chemin en prenant soin de nous coller une étiquette, genre gommettes, pour nous reconnaître après le passage. On se demande bien pourquoi, avant le passage… Il y a une queue incroyable devant les portes des guichets de douane, ça se bouscule, certains passent rapidement (corruption ? passe-droits ?), d autres se font refouler et le plus grand nombre attend comme nous que la file avance. On voit tout, le trafic routier, les frontaliers qui passent tranquilles, ceux qui travaillent, les receleurs, les militaires, les vendeurs de tout et de rien, chaque détail apparaît comme une distraction dans cette longue attente. D’un coup, on rentre dans un bâtiment climatise genre frigo, rempli de monde encore, à nouveau bousculade devant les guichets, il faut prendre le bon sinon retour a la case départ. Un coup de tampon et hop, on va récupérer ses bagages qui ont passe la frontière avec le porteur, un petit contrôle de routine, il faut marcher encore, sous ce soleil brûlant, en file, avant d’arriver sur un parking, celui qui nous a mis la gommette nous guide, organise le transport suivant, on paye et nous voici en thailande .C est fou, brutalement , fini les maisons sur pilotis , en bord de rizières et des milliers de lotus aux pieds dans la boue fini les ordures à perte de vue dans les champs, fini les charrettes à bœufs et bonjour la civilisation, la richesse, la modernité. Bye bye Cambodia, je n ai pas eu assez de temps pour te découvrir, tant mieux, c’est un bon prétexte pour revenir, avec plus de temps. En quelques jours, j’en ai vu des belles choses dans ce pays si… Particulier, heurte par l’histoire.

mercredi 17 octobre 2012

deuil national


Deuil national Depuis notre arrivée au Cambodge, le pays est secoué par le décès du père de la patrie, un demi-dieu, le roi Norodom Sihanouk. Tout semble paralyse par cette triste nouvelle, il m’est bien difficile de me faire une idée juste, la première impression est affectée par ce décès qui ralentit considérablement l’activité de la capitale. Que j aimerai rester plus longtemps pour Découvrir mieux ce pays auquel j ai rêvé bien souvent. Malgré tout, j ai été séduite par les marches, très vivants, colores, les visages à la fois grave et souriants de la population, les monuments magnifiques et le Mékong, mythique, avec sa balade très prisee par tous, que ce soit touristes multi poches ou locaux. En revenant du Russian Market, vers midi, la ville s’est transformée, envahie par une foule vêtue de noir et blanc avec une rosette aux mêmes teintes sur chaque passant, tout âge confondu. Tout le monde se presse le long des artères principales pour voir passer la dépouille du roi défunt, venant de l aéroport pour être conduit au palais. Le corps du défunt sera exposé 3 mois pour que chacun puisse le saluer une dernière fois, avant de grandioses funérailles. Ceux qui ne peuvent assister au passage du cortège, sous-haute surveillance, se pressent devant les postes de tele qui transmettent en direct les images. Entrecoupées de documentaires à la gloire de ce dieu vivant adule par la population. C est très émouvant de voir un peuple venere cet homme.des milliers de fleurs de lotus lui sont offertes a chaque coin de rue, dans les vitrines, les portraits fleuris de jaune et de blanc sont places au centre, entre meubles ou mannequins, vélos ou pièces de moteurs. L’icône du roi est omniprésente. Ce soir, à la tombée du jour, il y a déjà la queue devant le palais et cela va durer 3 mois. Je reviendrai, je l espère, visiter ce magnifique pays en des temps plus calmes.

mardi 16 octobre 2012

playing with wiggs


playing at the market

dimanche 14 octobre 2012

ponts


D’un pont a l’autre Bangkok est une de ces villes tentaculaires, immense et polluée, intense et grouillante, ou la chaleur mets à l épreuve les citadins. Le ciel semble constamment gris, la pollution forme un plafond opaque et dense. Pour se rendre d’un point a un autre, il faut s’armer de patience . pourtant, les moyens de locomotion sont variés : taxi, bus, mototaxis, bateaux, trains. Depuis peu le metro aérien survole la ville du haut de ses immenses ponts, encore plus hauts que ceux des autoroutes. Certes, ce metro tout neuf est de loin le plus rapide, faut-il encore que le quartier choisi soit desservi par ces trains ultrarapides mais bondes. Chaque transport semble avoir ses avantages, ou inconvénients, j’ai un faible pour la mototaxi qui se faufile entre les véhicules, au cœur de la pollution ; le port du masque est vivement conseillé, tout comme celui du casque. Metro et taxi ont cette fonction réfrigérante inattendue, penser à se couvrir dès l entrée dans les véhicules pour éviter la crève. Faire de même d’ailleurs dans tous les bâtiments publics. Ici l’option clim. à fond est de rigueur. La ville semble peuplée de ponts, que ce soit pour traverser a pied les grandes artères du centre ou pour les autoroutes payantes, le metro aérien, les trains. Les ponts se passent au-dessus les uns des autres, tissant une toile urbaine étonnante. Avec la mototaxi, on reste en bas, aux pieds de ces mastodontes. Les dessous des ponts sont rarement chics, ils sont plutôt surpeuplés de pauvres bicoques ou de minuscules échoppes ; quelques jardins potagers viennent donner une touche verdoyante ici ou là. Sous les ponts, la vie des pauvres semble bien différente que celles de ces magnifiques buildings de verre et de métal, lumineux le soir, remplis de shopping malls, de touristes prêts à consommer. Ces petites maisons faites de bois ou de bric et de broc accueillent de nombreuses familles, les enfants jouent au milieu des ordures et d’un dessous de pont a l autres, il y a des ginguettes, des marches populaires, des stands à bondieuserie ou chacun vient offrir un bâton d encens, bien éloigne de cette grande frénésie de consommation urbaine qui séduit les touristes du monde entier. J espère avoir le temps, en fin de semaine, de traîner un peu plus dans ces quartiers, pour photographier et m’inspirer de cette vie sous pont pour le projet Pakret, ce dernier s’intègre de manière évidente à ces espaces urbains populaires, délaisses , qu on préfère éviter de voir pour continuer à mieux consommer dans le luxueux et magique Bangkok.

i love thai food


every day i loved to eat here

vendredi 12 octobre 2012

first day in bangkok


we arrived middle day in bangkok, this is such a big city... so much pollution but so much different than all i saw until now, i am happy to be here and my class at aom yoga,71 sport club was great this morning, it is nice to be invite to teach by people i had meet in india 2 years ago, thnaks to chulinda for invite me

lundi 8 octobre 2012

beach


La grande plage Quand je suis a Bali, il y a un rituel que j’aime bien. Il faut dire que cette île Verdoyante inspire aux rituels, les Balinais font constamment des offrandes aux nombreux bons dieux peuplant les rues, les devantures des boutiques, les gros arbres ou encore les entrées de tous les bâtiments. Mon rituel est celui de la marche le long de l’immense plage, au lever du jour. C est un moment serein, chaque jour différent en fonction de la marée et de la météo. Pourtant, peu importe le temps, il y a déjà du monde de bon matin foulant la baie, chacun son style, en marchant, en courant. Certains préfèrent se baigner ou surfer sur les belles vagues de l’océan. Pas de requins ici, seulement de beaux rouleaux a l’écume blanche. Je croise de multiples visages, illustrant les nationalités visitant Bali mais aussi de nombreux balinais qui profitent de l’aube pour apprécier la plage avant qu’elle ne soit envahie par les chaises longues et les corps gras sirotant la bière locale dès le matin. Bali est très touristique, avec un métissage particulier, l’île est prisee des pays asiatiques des alentours. Les Indonésiens viennent nombreux en vacances dans ce petit paradis commercial, pourtant si traditionnel. C est ce contraste, comme un choc des cultures qui me plait. En marchant, j aime jouer à deviner d’où viennent les gens que je croise sur mon chemin. Avec le temps, on reconnaît certaines nationalités facilement. Même si l’horaire matinal est mon préfère – de loin le moins peuple-, - je reviens volontiers dans la journée profiter des vagues ou encore admirer le coucher de soleil magique. Australiens, européens, chinois, javanais, japonais, coréens, malaisiens et quelques Africains font de même : ce coucher de soleil est irrésistible.

dimanche 7 octobre 2012

j 7 tobacco free


7 days without smoking it is great it is wild it is strange it is funny it is difficult it is GOOOG but so Hard

vendredi 5 octobre 2012

one year before


today i have a little nostalgie, it is the stop smoking effect and i am thinking what was i doing one year before ? what will i do one year later ? those thinkings helps me to be better and stronger i love to be in bali it is good for my brain, for my heart for my husband, for me

mardi 2 octobre 2012

bali and no smoking


from yesterday i am in bali and i decide to stop smoking again, which is gooooooood and difficult but i have motivation, even if i get fat ou grumpy it is ok bali is still busy but nice weather and i am sure i will be great here. i am with my husband, i have to work but i will try to be more arty lights in airport of kualalumpur